« L’intérieur et l’extérieur se confondent. Le squelette est à nu, mais on distingue certains visages. La mort (ou son évocation, la « vanité ») est fortement suggérée, mais – au-delà de la fragilité des choses – plutôt pour dire leur délicatesse, leur complexité vertigineuse. Il semble que la vie soit aussi transparente et aussi dense qu’une dentelle. La vie est une oeuvre d’art. On songe à ces fractales qui, dans la partie, disent encore le tout. Ces tableaux sont des chrysalides, à l’aube d’une naissance ».
Emmanuel Merle
( catalogue 2016 de la biennale Art Partagé à Rives – Isère )
Encre sur papier Ingres –
25 x 32,5 cm